Publiée pour la première fois le 4 mars 2020 et mise à jour en permanence ; dernière mise à jour le 14 octobre 2024 (changements détaillés ci-dessous). Toutes les revues de cette collection spéciale sont en accès libre.
Cette collection spéciale fait partie d'une série de collections sur la COVID-19. Il a été publié à l'origine en anglais et est également disponible en chinois simplifié, chinois traditionnel, croate, tchèque, allemand, farsi, français, japonais, malais, polonais, portugais, russe et espagnol.
Cette collection spéciale a été créée en réponse à la pandémie de la COVID-19 et est régulièrement mise à jour. Elle vise à garantir un accès immédiat aux revues systématiques les plus directement pertinentes pour la prévention des infections. Elle inclut des revues qui concordent avec les Lignes directrices provisoires de l'OMS, ainsi que d'autres revues potentiellement pertinentes identifiées par trois réseaux Cochrane : le Réseau Cochrane Santé Publique et Systèmes de Santé; le Réseau Cochrane Musculosquelettique, Oral, Cutané et Sensoriel; et le Réseau Cochrane Soins Intensifs et Médecine d’Urgence. La collection s'appuie également sur les connaissances des groupes Cochrane dans les régions affectées. De nombreuses revues de la collection ont associé les Réponses Cliniques de Cochrane avec des liens fournis (disponibles en anglais).
Les différentes natures d'agents pathogènes et leurs modes de transmission par rapport à ce que l'on sait actuellement sur la COVID-19 pourraient limiter l'applicabilité des données probantes résumées dans ces revues. Veuillez noter que les revues incluses dans cette collection spéciale résument les données probantes, et leur inclusion ne signifie pas que les interventions examinées se sont avérées être une mesure de prévention efficace.
Mise à jour du 14 octobre 2024 : ajout d’une nouvelle revue systématique Cochrane, « Tests moléculaires de laboratoire alternatifs à la RT-PCR pour le diagnostic de l'infection par le SARS-CoV-2 ».
Identification et diagnostic
Le diagnostic des personnes infectées par le SARS-CoV-2 a joué un rôle essentiel dans la gestion de la pandémie de COVID-19 et reste une priorité pour la transition vers la gestion à long terme de la COVID-19. L'absence de détection du SARS-CoV-2 lorsqu'il est présent risque de propager l'infection et donne lieu à des occasions manquées de prévention. Actuellement, les tests visant à confirmer l'infection par le SARS-CoV-2 reposent principalement sur la réaction en chaîne par polymérase après transcription inverse (RT-PCR). Cette opération nécessite un équipement spécialisé et peut prendre 24 heures pour obtenir un résultat. Les alternatives à la RT-PCR pourraient, si elles sont suffisamment précises, avoir un impact positif en élargissant l’éventail des outils de diagnostic disponibles pour l'identification rapide des personnes infectées par le SARS-CoV-2, l'accès aux tests et l'utilisation des ressources.
L'obésité comme facteur de risque indépendant pour la gravité et la mortalité de la COVID-19
Les personnes ayant un IMC très élevé (> 40 kg/m2) pourraient être plus exposées aux évènements indésirables de la COVID-19 que celles ayant un IMC faible. Cette revue visait à évaluer l'obésité en tant que facteur pronostique indépendant, et à évaluer l'effet d'un IMC très élevé sur la mortalité, la nécessité d'une ventilation mécanique, l'hospitalisation, l'admission en soins intensifs, et la forme sévère de la maladie ou la pneumonie chez les adultes atteints d'une maladie COVID-19 confirmée. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Chez les adultes atteints de COVID-19, l'obésité a-t-elle une incidence sur les événements indésirables ?
La maladie à coronavirus COVID-19 est très variable, allant de l'infection sans symptômes à la pneumonie et à des conséquences potentiellement mortelles. Des symptômes tels que la fièvre, la toux ou la perte de l'odorat (anosmie) ou du goût (agueusie) peuvent aider à repérer rapidement la présence de la maladie. Ces informations pourraient être utilisées soit pour exclure la COVID-19, soit pour identifier les personnes qui doivent passer des tests de diagnostic de la COVID-19. Cette revue, mise à jour à deux reprises depuis sa première publication en 2020, évalue la précision diagnostique des signes et symptômes pour déterminer si une personne se présentant en soins primaires ou dans des services de consultation externe à l’hôpital, comme le service des urgences ou les cliniques spécialisées dans le traitement de la COVID-19, est atteinte de la COVID-19 ou de la pneumonie due à la COVID-19. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quelle est la précision des symptômes spécifiques et connexes à la COVID-19 définis par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour le diagnostic de la COVID-19 ?
Tests sérologiques pour l'identification de l'infection par le SARS-CoV-2 actuelle et antérieure
Cette revue actualisée résume les données probantes de la précision des tests de détection des anticorps contre la COVID-19, qu'il s'agisse de tests de laboratoire ou de tests rapides utilisant un format de flux latéral. Les défis diagnostiques associés à la pandémie de la COVID-19 ont entraîné le développement rapide de méthodes de tests diagnostiques pour détecter l'infection par le SARS-CoV-2. Les tests sérologiques visant à détecter la présence d'anticorps contre le SARS-CoV-2 permettent de déceler une infection passée et pourraient détecter des cas d'infection par le SARS-CoV-2 qui n'ont pas été détectés par les tests de diagnostic antérieurs. La compréhension de la précision diagnostique des tests sérologiques pour l'infection par le SARS-CoV-2 pourrait permettre de développer des voies de diagnostic et de gestion efficaces, d'éclairer les décisions de gestion de la santé publique et de comprendre l'épidémiologie du SARS-CoV-2. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quelle est la précision des tests d'anticorps d'immunoglobulines G (IgG) et d’IgM pour la détection d'une infection actuelle par le SRAS-CoV-2 ? et Quelle est la précision des tests d'anticorps d'immunoglobuline G (IgG) et d'IgM pour la détection d'une infection antérieure par le SRAS-CoV-2 ?
Des tests précis de diagnostic rapide de l'infection par le SARS-CoV-2 seraient un outil utile pour aider à gérer la pandémie de la COVID-19. Les stratégies de dépistage qui utilisent des tests antigéniques rapides pour détecter l'infection actuelle ont le potentiel d'augmenter l'accès au dépistage, d'accélérer la détection de l'infection et d'informer les décisions de gestion clinique et de santé publique pour réduire la transmission. Il s'agit de la deuxième mise à jour de cette revue, qui a été publiée pour la première fois en 2020. Cette revue se concentre uniquement sur les tests antigéniques rapides. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quelle est l’efficacité des tests rapides basés sur les antigènes à réaliser sur le lieu d’intervention pour le diagnostic de l'infection par le SARS-CoV-2 ?
Il est important d'identifier les personnes atteintes de la COVID-19 dont l'état risque de se détériorer, afin de déterminer si elles doivent recevoir des soins intensifs ou si elles peuvent être traitées de manière moins intensive ou en ambulatoire. Cette revue évalue l'efficacité des tests de laboratoire sanguins de routine chez les personnes ayant reçu un diagnostic d'infection par le SRAS-CoV-2 et souffrant d’une forme modérée ou légère de la COVID-19, afin de prédire leur probabilité de décès ou de détérioration vers une forme sévère ou critique de la COVID-19.
Vaccination
Efficacité et tolérance des vaccins contre la COVID-19
Différentes formes de vaccins ont été développées pour prévenir le virus SARS-CoV-2 et la COVID-19 qui en découle. Plusieurs d'entre elles sont largement utilisées dans le monde. Évaluer l'efficacité et la tolérance des vaccins contre la COVID-19 (en tant que série complète de primovaccination ou dose de rappel) contre le SARS-CoV-2. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quels sont les bénéfices et les risques des vaccins à base d'ARN pour la prévention de la COVID-19 ?, Quels sont les bénéfices et les risques des vaccins à virus inactivés pour la prévention de la COVID-19 ?, Quels sont les bénéfices et les risques des vaccins non réplicatifs à base de vecteurs viraux pour la prévention de la COVID-19 ? et Quels sont les bénéfices et les risques des vaccins à sous-unités protéiques pour la prévention de la COVID-19 ?
Cette revue exploratoire fournit une vue d'ensemble de la littérature existante sur la réponse immunitaire et les critères de jugement cliniques à long terme après la vaccination contre la COVID-19. Plusieurs vaccins se sont avérés très efficaces en termes de protection contre le COVID-19 sévère, mais les patients dont le statut immunitaire est compromis développent une réponse immunitaire plus faible et moins stable à la vaccination. Une forte réponse immunitaire pourrait ne pas toujours se traduire par un bénéfice clinique, c'est pourquoi il est important de synthétiser les données probantes sur les schémas et les types de vaccination modifiés dans ces sous-groupes de population pour orienter les décisions de santé. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quelles sont les données probantes disponibles concernant les vaccins contre le SARS-CoV-2 chez les personnes présentant un risque élevé de faible réponse immunitaire ?
Interventions visant à augmenter l’adoption du vaccin contre la COVID-19 : une revue exploratoire
Cette revue exploratoire cartographie les interventions visant à augmenter l'adoption du vaccin contre la COVID-19 et à diminuer l'hésitation à l'égard de ce vaccin. L'hésitation à se faire vacciner constitue une menace considérable pour l'objectif d'une vaccination à l'échelle nationale dans de nombreux pays et représente une menace importante pour la santé de la population. Les vaccins sont efficaces dans la prévention de la forme sévère de la COVID-19, une maladie pour laquelle il existe peu de traitements et qui peut entraîner une invalidité ou la mort. Une vaccination généralisée contre la COVID-19 pourrait contribuer à protéger ceux qui ne peuvent pas encore se faire vacciner. En outre, les mutations nouvelles et résistantes au vaccin du SARS-CoV-2 pourraient être moins susceptibles de se développer si la propagation de la COVID-19 est limitée. Différents vaccins sont désormais largement disponibles dans de nombreux contextes. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quelles sont les données probantes disponibles sur les interventions visant à augmenter l’adoption du vaccin contre la COVID-19 ou à diminuer l'hésitation à le recevoir ?
Les maladies infectieuses sont une cause majeure de maladie et de décès chez les personnes âgées. Les vaccins peuvent prévenir les maladies infectieuses, notamment contre la grippe saisonnière, les infections à pneumocoque, l'herpès zoster et la COVID-19. Toutefois, le recours à la vaccination chez les personnes âgées varie selon les contextes et les groupes. La communication avec les travailleurs de la santé peut jouer un rôle important dans la décision des personnes âgées de se faire vacciner. Explorer les perceptions et les expériences des travailleurs de la santé en matière de communication avec les personnes âgées, au sujet de la vaccination. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quelles sont les perceptions et les expériences des travailleurs de la santé en matière de communication avec les personnes âgées (> 50 ans) au sujet de la vaccination ?
La vaccination des enfants est l'un des moyens les plus efficaces de prévenir les maladies graves et les décès chez les enfants. Cependant, dans le monde entier, de nombreux enfants ne reçoivent pas tous les vaccins recommandés, pour plusieurs raisons potentielles. Les vaccins pourraient être indisponibles ou les parents pourraient rencontrer des difficultés pour accéder aux services de vaccination, par exemple en raison de la mauvaise qualité des services de santé, de l'éloignement d'un établissement de santé ou du manque d'argent. Certains parents pourraient ne pas accepter les vaccins et les services de vaccination disponibles. Notre compréhension de ce qui influence l'opinion et les pratiques des parents en matière de vaccination des enfants, et des raisons pour lesquelles certains parents n'acceptent pas les vaccins pour leurs enfants, est encore limitée. Cette synthèse de données qualitatives vise à (1) explorer les points de vue et les pratiques des parents et des soignants informels concernant la vaccination systématique des enfants, ainsi que les facteurs qui influencent l'acceptation, l'hésitation ou la non-acceptation de la vaccination systématique des enfants ; (2) développer une compréhension conceptuelle de ce que sont les différents facteurs qui réduisent l'acceptation de la vaccination systématique des enfants et de la manière dont ils le font ; et (3) explorer comment les résultats de cette revue peuvent améliorer notre compréhension des revues Cochrane connexes sur l'efficacité des interventions. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quels sont les facteurs qui influencent les opinions et les pratiques des parents et des aidants informels concernant la vaccination systématique des enfants ?
Lutte contre les infections dans les établissements de santé
Lors des épidémies de maladies hautement infectieuses, telles que le virus Ebola, le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) ou le coronavirus (COVID-19), les travailleurs de la santé sont beaucoup plus exposés au risque d'infection que la population générale, en raison de leur contact avec les liquides organiques contaminés des patients. L'équipement de protection individuelle (EPI) peut réduire le risque en couvrant les parties du corps exposées. Cette revue évalue quel type d’EPI pour le corps entier et quelle méthode de mise en place ou de retrait des EPI présentent le moins de risques de contamination ou d’infection pour les professionnels de santé, et quelles méthodes de formation permettent de mieux respecter les protocoles relatifs aux EPI. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quel type d'équipement de protection individuelle (EPI), et quelles interventions visant à accroître l'utilisation des EPI par le personnel de santé, contribuent à réduire la propagation des maladies hautement infectieuses ?
De nombreuses procédures dentaires produisent des aérosols (gouttelettes, noyaux de condensation ou « droplet nuclei » et éclaboussures) qui abritent divers micro-organismes pathogènes et pourraient constituer un risque de propagation d'infections entre dentiste et patient. La pandémie de la COVID-19 a suscité une plus grande inquiétude quant à ce risque. Cette revue vise à évaluer l'efficacité des méthodes utilisées lors des procédures de traitement dentaire pour minimiser la production d'aérosols et réduire ou neutraliser la contamination par les aérosols. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Comment l'évacuation à haut débit (HVE) se compare-t-elle à l'absence d’évacuation à haut débit ou à une autre forme d'aspiration dentaire pour réduire les aérosols contaminés pendant les procédures dentaires ? et Comment les liquides réfrigérants antimicrobiens se comparent-ils entre eux ou avec un placebo pour réduire les aérosols contaminés pendant les procédures dentaires ?
Lorsque de nouvelles maladies infectieuses respiratoires se répandent, comme c’est le cas de la pandémie de COVID-19, il devient encore plus important que les professionnels de la santé respectent les directives de prévention et de contrôle des infections (PCI). Les stratégies fixées par ces directives comprennent l’utilisation d’équipements de protection individuelle tels que masques, écrans faciaux, gants et surblouses, la séparation des patients souffrant d’infections respiratoires des autres patients et des routines de nettoyage plus strictes. Dans la pratique, ces stratégies peuvent être difficiles à appliquer et demandent du temps. Cette revue rapide qualitative vise à identifier les obstacles et les facteurs facilitant l’observance par les professionnels de la santé des lignes directrices de PCI relatives aux maladies infectieuses respiratoires. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quels sont les obstacles et les facteurs organisationnels, environnementaux et individuels qui influent sur l’observance par les professionnels de la santé des directives de prévention et de contrôle des infections relatives aux maladies infectieuses respiratoires ?
Les interventions visant à améliorer le respect de l'hygiène des mains durant les soins aux patients
Les infections associées aux soins de santé sont une cause majeure de morbidité et de mortalité. L'hygiène des mains est considérée comme une mesure de prévention efficace. Cette revue évalue le succès à court et à long terme des stratégies visant à améliorer le respect des recommandations pour l'hygiène des mains, et détermine si une amélioration du respect de l'hygiène des mains peut permettre de réduire les taux d'infections associés aux soins de santé. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quels sont les effets des campagnes multimodales visant à améliorer l'hygiène des mains du personnel de santé ? et Quels sont les effets de la rétroaction sur le rendement, de l’éducation et des indications olfactives et visuelles sur l’hygiène des mains des professionnels de la santé ?
Les « précautions standard » font référence à un système d’actions, telles que l’utilisation d’équipements de protection individuelle ou le respect de la manipulation sûre des aiguilles, que les professionnels de santé appliquent pour réduire la propagation des germes lors des soins, par exemple dans les hôpitaux et les maisons de retraite médicalisées. Cette revue évalue l’efficacité des interventions qui visent à améliorer le respect des précautions standard par le personnel de santé au cours des soins dispensés aux patients. Réponses Cliniques de Cochrane associées : La formation des travailleurs de la santé améliore-t-elle le respect des précautions standard pour contrôler les infections associées aux soins de santé ?
Le Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM) est un pathogène hospitalier courant qui augmente la morbidité, la mortalité et les coûts des soins de santé. Son contrôle reste un problème non résolu dans de nombreux hôpitaux du monde entier. Cette revue évalue l'efficacité du port de gants, d'une blouse ou d'un masque lorsqu'un contact est anticipé avec un patient hospitalisé colonisé ou infecté par le SARM, ou avec l'environnement immédiat du patient. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Les gants, les blouses et les masques réduisent-ils la transmission du SARM en milieu hospitalier ?
Le port de blouse est largement répandu dans les services de néonatologie et les unités néonatales de soins intensifs. On pense que le port de blouse pourrait permettre de prévenir la propagation des infections nosocomiales et de rappeler au personnel et aux visiteurs de se laver les mains avant tout contact avec les nourrissons. Cette revue évalue les effets du port de blouse par le personnel et les visiteurs sur l'incidence des infections et des décès chez les nourrissons des services de néonatologie. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Le port de blouse par le personnel et les visiteurs des services de néonatologie contribue-t-il à prévenir la morbidité et la mortalité néonatales ?
Sondes endotrachéales avec ou sans ballonnet pour les nouveau-nés
L'intubation endotrachéale est une procédure couramment pratiquée chez les nouveau-nés. Certaines sondes endotrachéales (SET) sont équipées d'un ballonnet qui peut être gonflé après l'insertion de la SET dans les voies respiratoires pour limiter les fuites ou l'aspiration. Un bénéfice potentiel de l'utilisation d'une SET à ballonnet gonflé pourrait être une moindre exposition des travailleurs de la santé aux particules aérosolisées qui pourraient causer la transmission horizontale d'infections telles que la COVID-19. Grâce à une meilleure compréhension de l'anatomie des voies aériennes néonatales et à l'utilisation généralisée des sondes à ballonnet par les anesthésistes, l'utilisation des sondes à ballonnet est en augmentation chez les nouveau-nés. Cependant, il existe une variabilité et une ambiguïté dans de nombreux aspects des soins entourant l'utilisation des sondes à ballonnet au sein de la population néonatale. Cette revue évalue les données probantes pour ou contre l'utilisation d'une sonde à ballonnet chez les nouveau-nés. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Comment les sondes endotrachéales à ballonnet se comparent-elles aux sondes endotrachéales sans ballonnet pour les nouveau-nés et les jeunes nourrissons nécessitant une ventilation mécanique ?
Les risques respiratoires sont fréquents sur les lieux de travail. En fonction du danger et de l’exposition, les conséquences pour la santé peuvent prendre la forme de maladies légères à mortelles dues à des agents infectieux, d’effets aigus allant de l’irritation respiratoire à des affections pulmonaires chroniques, voire de cancers dus à l’exposition à des produits chimiques ou à des toxines. L’utilisation d’un équipement de protection respiratoire (EPR) est une mesure préventive importante dans de nombreux milieux professionnels. Les EPR n’offrent une protection que s’ils sont portés correctement, retirés avec précaution et remplacés ou entretenus régulièrement. L’efficacité des interventions comportementales en faveur des EPR, à destination soit des employeurs ou des organisations professionnelles, soit directement des travailleurs, est une question importante qui reste sans réponse. Cette revue évalue les effets de toute intervention comportementale, qu’elle soit destinée aux organisations ou aux travailleurs individuels, sur l’utilisation observée ou auto-déclarée des EPR par les travailleurs, par rapport à l’absence d’intervention ou à une autre intervention. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Les interventions éducatives améliorent-elles l'utilisation des équipements de protection respiratoire (EPR) sur le lieu de travail ?
Bains de chlorhexidine chez les patients en phase critique pour prévenir les infections nosocomiales
Les infections nosocomiales sont un événement indésirable fréquent dans les soins aux patients ; elles peuvent entraîner des séjours prolongés à l'unité de soins intensifs (USI), des complications médicales supplémentaires, une invalidité permanente ou le décès. Alors que tous les patients hospitalisés sont sensibles aux infections, la prévalence est particulièrement élevée dans les unités de soins intensifs, où les personnes gravement malades sont en immuno-suppression et sont soumises à une surveillance invasive accrue. La chlorhexidine est un produit peu coûteux, largement utilisé comme désinfectant et antiseptique, qui peut être utilisé pour laver les personnes gravement malades dans le but de tuer les bactéries et de réduire la propagation des infections contractées à l'hôpital. Cette revue évalue les effets du bain de chlorhexidine sur le nombre d'infections nosocomiales chez les personnes gravement malades. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quels sont les effets du bain de chlorhexidine pour prévenir les infections nosocomiales chez les personnes admises dans les unités de soins intensifs (USI) ?
L'infection par COVID-19 présente un risque grave pour les patients et - en raison de sa nature contagieuse - pour les professionnels de santé qui les traitent. Si la bouche et le nez des personnels de santé sont irrigués avec des solutions antimicrobiennes, cela pourrait contribuer à réduire le risque de transmission de l'infection active des patients infectés aux professionnels de santé par transmission de gouttelettes ou par contact direct. Toutefois, l'utilisation de ces solutions antimicrobiennes pourrait être associée à des effets indésirables liés à la toxicité des solutions elles-mêmes, ou à des altérations de la flore microbienne naturelle de la bouche ou du nez. Il est particulièrement important de comprendre ces effets secondaires éventuels lorsque les personnels de santé sont par ailleurs bien portants. Cette revue évalue les bénéfices et les risques des bains de bouche et des sprays nasaux antimicrobiens utilisés par les personnels de santé pour se protéger lorsqu'ils traitent des patients atteints d'une infection COVID-19 suspectée ou confirmée.
L'infection par COVID-19 présente un risque grave pour les patients et - en raison de sa nature contagieuse - pour les professionnels de santé qui les traitent. Irriguer la bouche et le nez des patients infectés avec des solutions antimicrobiennes pourrait aider les patients en tuant tout coronavirus présent à ces endroits. Ceci pourrait également réduire le risque de transmission de l'infection active aux professionnels de santé, par gouttelettes ou par contact direct. Toutefois, l'utilisation de ces solutions antimicrobiennes pourrait être associée à des effets néfastes liés à la toxicité des solutions elles-mêmes ou à des altérations de la flore microbienne naturelle de la bouche ou du nez. Cette revue évalue les bénéfices et les risques des bains de bouche et des sprays nasaux antimicrobiens administrés aux patients atteints d'une infection COVID-19 suspectée ou confirmée, tant pour les patients que pour les professionnels de santé qui les soignent.
L'infection par COVID-19 présente un risque grave pour les patients et - en raison de sa nature contagieuse - pour les professionnels de santé qui les traitent. Les risques de transmission de l'infection sont plus importants lorsqu'un patient subit une procédure génératrice d'aérosols (PGA). Les personnes atteintes d'une infection COVID-19 ne présentent pas toutes des symptômes ou ne sont pas toutes soupçonnées d'être porteuses de l'infection. Si un patient dont on ne sait pas s'il est infecté ou suspecté d'être infecté par la COVID-19 doit subir une PGA, il serait néanmoins judicieux de minimiser le risque pour les professionnels de santé qui le traitent. Cette revue évalue les bénéfices et les risques des bains de bouche et des sprays nasaux antimicrobiens administrés aux professionnels de santé et/ou aux patients lors de la réalisation de PGA sur des patients sans infection COVID-19 suspectée ou confirmée.
Contrôle de l'infection dans la communauté
Cette revue est une mise à jour d'une revue rapide entreprise en 2020 afin d'identifier des approches de communication pertinentes, réalisables et efficaces pour promouvoir l'acceptation, l'adoption et l'observance des mesures de distanciation physique pour la prévention et le contrôle de la COVID-19. La revue rapide a été publiée à une époque où l'on en savait peu sur la transmission, le traitement ou la vaccination future, et où les mesures de distanciation physique (isolement, quarantaine, méthodes de suivi des contacts, évitement des foules, mesures au travail et à l'école) constituaient la pierre angulaire des réponses de santé publique à l'échelle mondiale.
Cette mise à jour comprend des données probantes plus récentes qui permettent ainsi de développer nos connaissances sur l'efficacité de la communication en matière de santé publique dans le contexte d'une pandémie. Cela implique de considérer les modifications nécessaires au fil du temps pour maintenir la réactivité face aux vagues de transmission de la pandémie, les (in)égalités et les besoins variables des groupes au sein des communautés dues à la pandémie, et met en relief une fois de plus le rôle primordial d'une communication efficace en tant que composante essentielle de la réponse de santé publique.
Anticorps monoclonaux neutralisant le SARS-CoV-2 dans la prévention de la COVID-19
Les anticorps monoclonaux (AcM) sont des molécules produites en laboratoire et dérivés des cellules B d'un hôte infecté, conçues pour cibler une protéine spécifique. Ils font l'objet d'études en tant que prophylaxie potentielle dans la prévention de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) ; ils sont pertinents pour les personnes qui ne répondent pas ou mal aux vaccins. Cette revue évalue les effets des AcM neutralisant le SARS-CoV-2, y compris les fragments d'AcM, pour prévenir l'infection par le SARS-CoV-2 responsable de la COVID-19 ; et utilise une approche de revue systématique dynamique pour maintenir à jour les données probantes. Réponses Cliniques de Cochrane associées Les anticorps monoclonaux neutralisant le SARS-CoV-2 après exposition peuvent-ils aider à prévenir la COVID-19 ? et Les anticorps monoclonaux neutralisant le SARS-CoV-2 avant exposition peuvent-ils aider à prévenir la COVID-19 ?
Les établissements de soins de long séjour présentent un risque particulièrement élevé d'épidémies de la COVID-19 causé par le nouveau SARS-CoV-2, et la charge de morbidité et de mortalité est très élevée chez les résidents de ces établissements. Cette revue évalue les effets des mesures non pharmacologiques mises en œuvre dans les établissements de soins de long séjour visant à prévenir ou à réduire la transmission de l'infection par le SARS-CoV-2 parmi les résidents, le personnel et les visiteurs. Réponses Cliniques de Cochrane associées Quels sont les effets des mesures sur la réglementation de l'accès visant à empêcher l’introduction de la COVID-19 dans les établissements de soins de longue durée ? ; Quels sont les effets des mesures de régulation des contacts et de réduction de la transmission de la COVID-19 dans les établissements de soins de longue durée ? Quels sont les effets des mesures de contrôle de l’épidémie de la COVID-19 dans les établissements de soins de longue durée ? ; et Quels sont les effets des mesures de surveillance de la COVID-19 dans les établissements de soins de longue durée ?
Fin 2019, les premiers cas de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) ont été signalés à Wuhan, en Chine, suivis d'une propagation mondiale. De nombreux pays ont mis en place des mesures de contrôle relatives aux voyages internationaux, notamment la fermeture des frontières, des restrictions de voyage, des contrôles aux frontières et la mise en quarantaine des voyageurs. Cette revue rapide évalue l'efficacité mesures de contrôle relatives aux voyages internationaux pendant la pandémie de la COVID-19 sur les critères de jugement liés à la transmission des maladies infectieuses et au dépistage. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quels sont les effets des restrictions aux voyages internationaux sur la propagation de la COVID-19 ? ; Quels sont les effets de la mise en quarantaine des voyageurs traversant les frontières internationales (avec ou sans dépistage) sur la propagation de la COVID-19 ? et Quels sont les effets du dépistage à l'entrée et/ou à la sortie des frontières internationales sur la propagation de la COVID-19 ?
Dépistage universel de l'infection par le SARS-CoV-2 : une revue rapide
La plupart des personnes infectées par le SARS-CoV-2 ont une maladie bénigne avec des symptômes non spécifiques, mais environ 5 % d'entre elles deviennent gravement malades avec une insuffisance respiratoire, un choc septique et une défaillance de plusieurs organes. Une proportion inconnue de personnes infectées ne présentent jamais de symptômes de la COVID-19 bien qu'elles soient infectieuses, c'est-à-dire qu'elles restent asymptomatiques. Celles qui développent la maladie passent par une période présymptomatique pendant laquelle elles sont infectieuses. Le dépistage universel des infections par le SARS-CoV-2 pour détecter les personnes infectées avant qu'elles ne se présentent cliniquement, pourrait donc être une mesure importante pour contenir la propagation de la maladie. Nous avons procédé à une revue rapide pour évaluer l'efficacité du dépistage universel de l'infection par le SARS-CoV-2 par rapport à l'absence de dépistage et la précision du dépistage universel chez les personnes ne s’étant pas présentées en soins cliniques pour des symptômes de la COVID-19. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quelle est la précision du dépistage des symptômes et de l'obtention d'informations sur les antécédents de voyage et l'exposition à une personne infectée connue pour diagnostiquer une infection par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) ?
Le coronavirus (COVID-19) est un nouveau virus qui s'est propagé rapidement dans le monde entier. La COVID-19 se propage facilement entre les personnes qui sont en contact étroit, ou par la toux et les éternuements. La plupart des personnes infectées souffrent de symptômes légers, semblables à ceux de la grippe, mais certaines personnes tombent gravement malades et peuvent même mourir. Cette revue rapide évalue les effets de la quarantaine (seule ou en combinaison avec d'autres mesures) sur les personnes qui ont été en contact avec des cas confirmés de COVID-19, qui ont voyagé depuis des pays où un foyer d’épidémie a été déclaré ou qui vivent dans des zones avec forte transmission de la maladie. Réponses Cliniques de Cochrane associées Quels sont les effets de la quarantaine sur les contacts étroits des personnes atteintes de la COVID-19 ? ; Quels sont les effets de la quarantaine combinée à d'autres mesures sur le contrôle de la propagation de la COVID-19 ? et Quels sont les effets de la quarantaine sur les personnes voyageant d'un pays ayant un foyer déclaré de COVID-19 ?
Les technologies numériques de traçage des contacts dans les épidémies : revue rapide
La réduction de la transmission du SRAS-CoV-2 est une priorité mondiale. Le traçage des contacts permet d'identifier les personnes qui ont été récemment en contact avec un individu infecté, afin de les isoler et de réduire la transmission. La technologie numérique pourrait être mise en œuvre pour renforcer la recherche manuelle des contacts, les outils numériques étant regroupés en trois domaines : 1) réponse à l'épidémie ; 2) traçage de proximité ; et 3) suivi des symptômes. Cette revue rapide évalue les bénéfices, les risques et l'acceptabilité des moyens numériques individuels de traçage pour repérer les contacts d'un cas confirmé positif à une maladie infectieuse. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Pendant les épidémies, quelle est l'efficacité des technologies numériques de recherche des contacts pour identifier les cas secondaires et les contacts étroits ?
Interventions physiques visant à enrayer ou à réduire la propagation des virus respiratoires
Les épidémies ou pandémies virales d'infections respiratoires aiguës telles que la grippe ou le syndrome respiratoire aigu grave constituent une menace globale. Les antiviraux et la vaccination pourraient être insuffisants pour prévenir leur propagation. Cette revue examine l'efficacité des interventions physiques visant à enrayer ou à réduire la propagation des virus respiratoires. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Des interventions physiques peuvent-elle aider à réduire la propagation des virus respiratoires ?
Le lavage des mains est important pour réduire la propagation et la transmission des maladies infectieuses. Les cendres, résidus des fourneaux et des feux, sont une matière utilisée pour se nettoyer les mains dans les endroits où il est difficile de se procurer du savon. Cette revue évalue les bénéfices et les risques du nettoyage des mains avec de la cendre par rapport au nettoyage des mains avec du savon ou d’autres matières pour réduire la propagation des infections virales et bactériennes. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Le nettoyage des mains à la cendre réduit-il la propagation des infections virales et bactériennes ?
Les maisons de retraite médicalisées offrent un environnement susceptible de favoriser l'acquisition et la propagation de Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM), ce qui expose les résidents à un risque accru de colonisation et d'infection. Il est reconnu que les stratégies de prévention et de contrôle des infections sont importantes pour prévenir et contrôler la transmission du SARM. Cette revue détermine les effets des stratégies de prévention et de contrôle des infections, dans la prévention de la transmission du SARM dans les maisons de retraite médicalisées. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Une intervention éducative dans les maisons de retraite pour personnes âgées permet-elle de prévenir la transmission du Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) ?
En réponse à la propagation du SARS-CoV-2 et à l'impact de la COVID-19, les gouvernements nationaux et infranationaux ont mis en œuvre diverses mesures afin de contrôler la propagation du virus et de la maladie associée. Le milieu scolaire est l'un des milieux les plus touchés par ces mesures. À la mi-avril 2020, 192 pays avaient fermé des écoles, touchant ainsi plus de 90 % de la population étudiante mondiale. Compte tenu des conséquences négatives des fermetures d'écoles, de nombreux pays du monde entier ont rouvert leurs écoles dans les mois qui ont suivi les premières fermetures. Cette revue vise à identifier et cartographier de manière exhaustive les données probantes évaluant les effets des mesures mises en œuvre dans le milieu scolaire pour rouvrir les écoles ou les garder ouvertes, ou les deux, pendant la pandémie du SARS-CoV-2/COVID-19, en mettant particulièrement l'accent sur les types de mesures mises en œuvre dans différents milieux scolaires, les critères de jugement utilisés pour mesurer leurs effets et les types d'études utilisées pour les évaluer. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quelles sont les données probantes disponibles sur les mesures mises en œuvre dans les établissements scolaires pour rouvrir les écoles et/ou maintenir les écoles ouvertes pendant la pandémie de la COVID-19 ?
Mesures mises en œuvre en milieu scolaire pour contenir la pandémie de la COVID-19
Cette revue fournit une évaluation actualisée des données probantes sur l'efficacité des mesures mises en œuvre dans les écoles primaires et secondaires pour maintenir les écoles ouvertes en toute sécurité pendant la pandémie de COVID-19. La revue se concentre sur les différents types de mesures mises en œuvre pour réduire les contacts et les rendre plus sûrs au sein des écoles et de la communauté au sens large, ainsi que sur les mesures de surveillance et d'intervention. Elle examine l'impact de ces mesures sur la transmission des maladies, ainsi que les conséquences involontaires des mesures et la manière dont elles ont été mises en œuvre.
La plupart des pays ont mis en place des mesures dans le cadre scolaire afin de rouvrir les écoles ou de les maintenir ouvertes tout en essayant de contenir la propagation du SARS-CoV-2. Pour une prise de décision éclairée sur la mise en œuvre, l'adaptation ou la suspension de ces mesures, il est non seulement crucial d'évaluer leur efficacité en ce qui concerne la transmission du SARS-CoV-2, mais aussi d'évaluer leurs conséquences involontaires. Cette revue identifie et cartographie de manière exhaustive les données probantes des conséquences involontaires sur la santé et la société des mesures prises en milieu scolaire pour prévenir et contrôler la propagation du SRAS-CoV-2, dans le but de générer une vue d'ensemble descriptive de l'éventail des conséquences involontaires (bénéfiques ou néfastes) rapportées ainsi que des modèles d'étude utilisés pour évaluer ces critères de jugement. Cette revue a été conçue pour compléter une revue Cochrane existante sur l'efficacité de ces mesures en synthétisant les données probantes concernant les implications des mesures scolaires au niveau du système plus large que leurs effets sur la transmission du SARS-CoV-2. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Quelles sont les données probantes disponibles sur les conséquences sanitaires et sociétales involontaires des mesures mises en œuvre en milieu scolaire pour contenir la pandémie de la COVID-19 ?
Différentes interventions visant à prévenir ou à réduire l'exposition des travailleurs au SARS-CoV-2 sur le lieu de travail ont été mises en œuvre pendant la pandémie. Cette revue Cochrane évalue les effets de ces interventions sur le taux d'infection par la COVID-19, l'absentéisme, la mortalité liée à la COVID-19 et les événements indésirables. Réponses Cliniques de Cochrane associées : Pour les adultes travaillant en dehors des établissements de santé après avoir été en contact avec une personne infectée, comment une stratégie de présence basée sur des tests se compare-t-elle à un auto-isolement standard de 10 jours en termes de taux d'infection par le SARS-CoV-2 ?
Remerciements
Cette collection spéciale a été élaborée par Lisa Bero (rédactrice en chef, du Réseau Cochrane Santé Publique et Systèmes de Santé), en collaboration avec Toby Lasserson (rédacteur en chef adjoint), Newton Opiyo (rédacteur en chef adjoint), Robin Featherstone (spécialiste de l'information) et Monaz Mehta (rédacteur en chef) du Département éditorial et des méthodes Cochrane. Des collègues du Réseau de la santé publique et des systèmes de santé, du Réseau Cochrane Chine, du Groupe Cochrane sur les Plaies et les contusions et du Groupe Cochrane sur les Infections respiratoires aiguës ont également contribué à la sélection des revues de cette Collection spéciale.
Traduction
Cette collection spéciale a été traduite par Andrea Moreno et Cochrane France. Une erreur de traduction ou dans le texte d'origine ? Merci d'adresser vos commentaires à : traduction@cochrane.frCrédit image
Mike Kemp/Getty Images
Nous contacter
Cochrane Editorial and Methods Department (emd@cochrane.org)